En 1652, devant l’école de médecine, des médecins émettent une thèse relatant que « le vin de Beaune est la plus saine comme la plus agréable des boissons ».
Nicolas Rolin, chancelier de Philippe le Bon et son épouse Guigone de Salins décident de créer un hôpital pour les pauvres mais hésitent un moment sur le lieu entre Autun ou Beaune.
Cette dernière ville est choisie de par son lieu de passage et de l’absence de grande fondation religieuse. C’est ainsi que le 4 août 1443 naît l’Hôtel-Dieu sur le papier.
Terroir & Histoire —
Les terroirs de Beaune produisent des vins rouges, des vins blancs selon trois niveaux d’appellation différents : les cotes de Beaune, les Beaune et les Beaune 1ers crus. On produit à Beaune près de 2 millions de bouteilles.
Rouges ou blancs, villages ou premiers crus, les Beaune se plaisent à table et constituent le compagnon idéal des mets les plus fins, des préparations les plus imaginatives.
Histoire du Vème au XIXème siècle —
EN 312, EUMÈNE RÉDIGE LA PREMIÈRE DESCRIPTION DU VIGNOBLE BEAUNOIS.
Très tôt déjà se dessine le choix des meilleurs terroirs. En l’an 1395, Philippe le Hardi décida d’améliorer la qualité des vins et interdit la culture du gamay au profit du pinot noir dans ses terres. C’est le premier décret alimentaire au monde, précurseur des appellations d’origine contrôlées (AOC).
Les Hospices de Beaune sont propriétaires d’un domaine viticole bourguignon grâce à des dons et des héritages de riches seigneurs bourguignons du Moyen Âge depuis 1471 et à cinq siècles de gestion du patrimoine. Suite au déclin de l’époque des ducs de Bourgogne, les premières maisons de commerce, des négociant-éleveurs apparaissent.
fin du XIXème siècle —
En 1874, l’arrivée d’un insecte venu d’Amérique, le phylloxéra, mis à mal le vignoble. Le phylloxéra fut découvert pour la première fois à Meursault le 17 juillet 1878 au lieu-dit l’Ormeau, puis le 23 juillet 1878 au jardin botanique de Dijon. Les contaminations dataient de 1876 pour Meursault et 1877 pour Dijon.
Les vignes américaines furent introduites en fraude à partir de 1885 et officiellement à partir du 12. juillet 1887. Il fallut arracher toutes les vignes et les replanter. Après de longues recherches, on finit par découvrir que seul le greffage permettrait à la vigne de pousser en présence du phylloxéra. Le mildiou provoqua un désastre considérable en 1910 avec des conséquences sociales importantes.
Ce n’est qu’à la veille de la Première Guerre mondiale que le vignoble bourguignon reprit son essor. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le manque de main d’œuvre et de produits de traitement (dont le cuivre en particulier qui est le principe actif de la bouillie bordelaise et de la bouillie bourguignonne) entraîna une nouvelle baisse de la production.
Vous découvrirez également ces anciennes « maisons du dimanche » utilisées par les vignerons à la belle saison appelées également cabotes.
Le large coteau -entre 1000 et 2000 mètres- de l’appellation s’ouvre sur une exposition sud-est assez homogène. Les altitudes varient de 210 à 340 mètres. Les sols sont composés de calcaire, mêlés irrégulièrement d’argile et de sable.
Le finage de Beaune est largement dédié aux rouges qui occupent 90% de l’appellation. Au nord, en bordure de Savigny-lès-Beaune, les vignes, comme les Marconnets, s’appuient sur des terres profondes mais meubles pour des vins charpentés.
En allant vers le sud, les Cent Vignes, les Toussaints, le Clos-des-Fèves ou encore les Perrières sont issus de terres fines et légères. Les Bressandes prennent appui plus haut sur le coteau, tandis que les Grèves forment une grande parcelle (30 ha) qui dérive en pente douce jusqu’en bas de coteau. Les vins des terroirs situés au centre du coteau sont à la fois généreux et élégants. Au sud de l’appellation, le Clos des Mouches, les Boucherottes ou les Montrevenots prennent appui sur des sols où se mêlent argiles, calcaires, sables et limons et donnent des vins complexes.
Les vins Côtes de Beaune sont produits sur le haut du coteau dans des sols plus légers et plus caillouteux.
Le savoir-faire des vignerons, des maisons de négoce a fait la renommée des vins de Beaune. il est développé, jour après jour, dans le travail de la vigne, au moment des vinifications, tout au long de l’élevage. Il est la véritable signature des vins de chaque vigneron ou négociant. Il porte la qualité des vins de Beaune et chacun apporte sa vision des terroirs de l’appellation. Cette diversité tant des hommes que des terroirs et des millésimes, fait que chaque vin est différent. C’est cette richesse qui donne le plaisir de la découverte lors de la dégustation. Vous pourrez visitez à Beaune les maisons de négociants et des domaines viticoles plus petits et authentiques. Poussez les portes et découvrez des caves splendîtes au cœur de Beaune.
Beaune se trouve donc au cœur d’un des vignobles les plus prestigieux au monde.
Les terroirs de Beaune produisent des vins rouges, des vins blancs selon trois niveaux d’appellation différents : les cotes de Beaune, les Beaune et les Beaune 1ers crus. On produit à Beaune près de 2 millions de bouteilles.
Les vins sont fins et élégants alliant fruits et épices. Ils ont un grand potentiel de garde et plaisent aux plus fines bouches. Rouges ou blancs, villages ou premiers crus, les Beaune se plaisent à table et constituent le compagnon idéal des mets les plus fins, des préparations les plus imaginatives.
Le savoir-faire des vignerons, des maisons de négoce a fait la renommée des vins de Beaune. il est développé, jour après jour, dans le travail de la vigne, au moment des vinifications, tout au long de l’élevage. Il est la véritable signature des vins de chaque vigneron ou négociant. Il porte la qualité des vins de Beaune et chacun apporte sa vision des terroirs de l’appellation. Cette diversité tant des hommes que des terroirs et des millésimes, fait que chaque vin est différent. C’est cette richesse qui donne le plaisir de la découverte lors de la dégustation. Vous pourrez visitez à Beaune les maisons de négociants et des domaines viticoles plus petits et authentiques. Poussez les portes et découvrez des caves splendîtes au cœur de Beaune.
Beaune se trouve donc au cœur d’un des vignobles les plus prestigieux au monde.
Les terroirs de Beaune produisent des vins rouges, des vins blancs selon trois niveaux d’appellation différents : les cotes de Beaune, les Beaune et les Beaune 1ers crus. On produit à Beaune près de 2 millions de bouteilles.
Les vins sont fins et élégants alliant fruits et épices. Ils ont un grand potentiel de garde et plaisent aux plus fines bouches. Rouges ou blancs, villages ou premiers crus, les Beaune se plaisent à table et constituent le compagnon idéal des mets les plus fins, des préparations les plus imaginatives.
Vous découvrirez également ces anciennes « maisons du dimanche » utilisées par les vignerons à la belle saison appelées également cabotes.
Le large coteau -entre 1000 et 2000 mètres- de l’appellation s’ouvre sur une exposition sud-est assez homogène. Les altitudes varient de 210 à 340 mètres. Les sols sont composés de calcaire, mêlés irrégulièrement d’argile et de sable.
Le finage de Beaune est largement dédié aux rouges qui occupent 90% de l’appellation. Au nord, en bordure de Savigny-lès-Beaune, les vignes, comme les Marconnets, s’appuient sur des terres profondes mais meubles pour des vins charpentés.
En allant vers le sud, les Cent Vignes, les Toussaints, le Clos-des-Fèves ou encore les Perrières sont issus de terres fines et légères. Les Bressandes prennent appui plus haut sur le coteau, tandis que les Grèves forment une grande parcelle (30 ha) qui dérive en pente douce jusqu’en bas de coteau. Les vins des terroirs situés au centre du coteau sont à la fois généreux et élégants. Au sud de l’appellation, le Clos des Mouches, les Boucherottes ou les Montrevenots prennent appui sur des sols où se mêlent argiles, calcaires, sables et limons et donnent des vins complexes.
Les vins Côtes de Beaune sont produits sur le haut du coteau dans des sols plus légers et plus caillouteux.